Monsieurle Président de la République, Suite à mon éviction du Prix de son excellence le Président de la République à l’occasion de la Journée du Savoir, je vous adresse cette lettre en tant que juriste, non seulement en votre qualité de Président de la République, car c’est à votre excellence que revient l’octroi de ce prix prestigieux, mais aussi à l’éminent
Billetde blog 16 mai 2012. Moi, Président de la République. Toi, Angela. La pluie, la grêle, la foudre même et tous les guerriers du Walhalla réunis n’auront pas réussi à empêcher
rêverd'être proche du président de la républiqueratp smart systems merville. Credit Solution Experts Incorporated offers quality business credit building services, which includes an easy step-by-step system designed for helping clients build their business credit effortlessly.
Rêved’un père, d’un roi, du Président de la République, toutes ces images renvoient à une lecture œdipienne où le père représente la règle, la discipline et l’interdit. Il est
Nepeut être Président de la République que le citoyen américain de naissance. Tout américain par naturalisation ne peut même pas rêver un seul instant le devenir. La loi lui
Depuis20 h, ce dimanche soir, nous avons pour cinq ans un nouveau président de la République en France. Vertu des élections libres, précédées de débats démocratiques, que peu de pays au monde permettent (regardez en Syrie, en Russie, en Chine). 2012 apparaît comme la chronique d’une défaite annoncée, celle de Nicolas Sarkozy, mais c’est maintenant que tout
ChristopheBéchu, le maire LR d’Angers, rêvait de devenir ministre. Il n’entre pas (pour l’instant) au gouvernement, mais pour son soutien (tardif)*, le président de la République l’a
UneSélection de 30 citations et proverbes sur le thème president de la republique. 30 citations. < 1. Je crois que j'ai été élu président de la République, grâce à une phrase de dix mots : « Mais, monsieur Mitterrand, vous n' avez pas le monopole du coeur! ».
FrançoisHollande est élu président de la République. Sans surprise, François Hollande a remporté la majorité des voix au second tour de la présidentielle, comme l'annonçaient les
Lavisite du président turc Recep Tayyip Erdogan à Varosha, en République turque de Chypre du Nord, ce mardi 20 juillet, ne manquera pas de cristalliser à nouveau les tensions autour de l
Im5Dqbw. En Corse, les assassinats mafieux font redouter une inversion des valeurs. Cela se double d’un effet miroir encourage par certains médias dominants parisiens, et une série de Canal+ . Les voyous font rêver Mafiosa. Nous, ils nous font souffrir ! », réagit Jean-François Bernardini, le leader du groupe I Muvrini qui préside à Bastia AFC- Umani, l’Association pour la Fondation de Corse, investie dans le puissant antidote qu’est la nonviolence NV. © La comédienne Hélène Fillière, qui interprète Sandra Paoli dans la série Mafiosa localisée en Corse - CanalPlus 5e saison déclare en Une du magazine Corsica n° 167- été 2013 Moi, les voyous me font rêver… ». C'est le monde à l'envers et l'inversion des valeurs. Mêlant fiction et réalité sans subtilité ni envergure, elle aligne les clichés du rapport à la famille, des liens du sang, de la parole donnée ». Des comportements censés gouverner le milieu des criminels de Mafiosa. Elle précise Eux les voyous, ils vont à la dure, sont capables de tuer leur propre frère, leur meilleur ami, de passer d’un clan à l’autre. » Pourquoi rêver ainsi de voyous dont les synonymes sont d’après le dictionnaire écorcheur, écumeur, carambouilleur, coupe-jarret, crapule, escroc, fripouille, gouape, gredin, incendiaire, malfaiteur, margoulin, nervi, requin, scélérat, souteneur, terreur, truand et vaurien » ? © Cet interview publié, pourtant et hélas, dans un magazine insulaire recèle un condensé de l’ensemble des préjugés sur la Corse, lesquels prolifèrent à longueur d’années. La réalité insulaire est toute autre. Plus nuancée, plus complexe, plus paradoxale. Faire rêver L’histoire de la Corse dont le territoire et le biotope sont fragiles et exceptionnels révèle une longue liste de véritables héros de la liberté qui, eux, méritent de nous faire rêver. Parmi lesquels le grand résistant Jean Nicoli et Pasquale Paoli qui fit de la Corse un modèle politique pour l’Europe au Siècle des lumières. En effet, outre l’effet de miroir lié à la criminalité que pointe l’historien Antoine-Marie Graziani, d’autres forces sont en jeu en Corse. Notamment l’engagement de Jean-François Bernardini, qui organise dans l’île de nombreuses actions et formations dédiées au cursus intellectuel et moral d’une nonviolence nv active et consciente. Dont une conférence internationale en juin 2013 à Bastia, conjointement avec Henri Malosse, président du Conseil Economique et Social Européen CESE. © Justice privée. © Dans son essai La violence dans les campagnes corses du XVIe au XVIIIe siècles Ed. A. Piazzola, 2013, l’historien Antoine-Marie Graziani note Longtemps la question de la violence a été traitée de façon réductrice, en la renvoyant au seul phénomène du banditisme. La lecture romantique de la vendetta à aboutit à la construction d’un banditisme d’honneur » pour touristes et cartes postales, avant de l’être pour les Corses eux-mêmes par un jeu de miroir. La réalité est toute autre, surtout si on interroge des périodes plus anciennes. » Docteur des Universités de Paris I et de Corse, il a proposé de nouvelles perspectives lors de son intervention à la conférence Scritti Isulani à Penta-di-Casinca, les 13 et 14 août 2013. Notamment sur les tragiques impacts sociaux dans l’île, de la terrible justice privée telle qu’elle fut imaginée par le République de Gènes du XVIe aux XVIIIe siècles. Une recherche qui interpelle la violence contemporaine, politique ou de droit commun ». © Il faut rappeler aussi que, en Corse, la multiplication des des activités mafieuses se déroule dans un contexte d’impunité due, selon les observateurs, aux nombreuses défaillances du ministère de l’Intérieur et du ministère de la Justice dans l’île. En cause, dit-on, les manques d’effectifs dans les services de la police et les tribunaux. © Les Indiens dans les westerns. Sur l’effet miroir, Jean-François Bernardini s’est montré percutant aussi lors de sa conférence à Ile-Rousse U Spazziu-20 août 2013. Les Corses sont diabolisés dans certains médias, comme les Indiens dans les westerns toujours montrés comme sauvages. De la même façon, des idées fausses sur la Corse s’impriment dans les consciences et créent , aussi chez les Corses, une auto-image d’eux-mêmes. Comme un effet miroir qui lance une injonction Deviens comme je te définis ! Non, les voyous ne me font pas rêver. Nous, ils nous font souffrir ! » © Librement inspiré de l’action politique nonviolente de Gandhi en Inde et de Martin Luther King aux Etats-Unis, les équipes de Jean-François Bernardini oeuvrent dans toute la Corse pour la diffusion des principes et méthodes de la nv. Il s’agit d’un vaste dispositif multiforme composé de techniques codifiées et éprouvées que l’on découvre en Corse, via des stages, des journées de sensibilisation et des parcours-expos organisés dans les entreprises et les établissements scolaires. Un succès qui pourrait agir comme un antidote social. Désormais 2 500 adultes et élèves sont impliqués dans l’île dans la résolution des conflits » et la régulation des désaccords par le dialogue » Soit 1% de la population et, pour AFC-Umani, un budget NV de 100 000 euros de 2011 à 2013. Sont prévues prochainement à Bastia diverses opérations d’excellence, de type formations de formateurs à la nv ». Une riposte déstabilisante. La NV est un dispositif qui s’adapte à tous les types de conflits naissants dans la famille, l’école, l’entreprise. Elle fonctionne, dès la première parole, comme une riposte déstabilisante pour les néophytes ou ceux qui doutent. Elle n’est pas assimilable à l’indifférence ou à la lâcheté. Et dans l’univers de la politique, cela ne consiste pas à désigner une cible » comme l’a si bien fait remarquer Nathalie Kosciusko-Morizet à propos du Front national. La nonviolence, qui n’est pas un pacifisme béat, ne fait pas non plus le jeu du système, de l’exclusion, de la stigmatisation, de la criminalité celle des voyous chers à Helène Fillière qui détruit le tissu social et les solidarités. Quand on se proclame nonviolent, il ne s’agit pas de fermer les yeux mais de faire face. C’est, ajoute Jean-François Bernardini, un combat citoyen qui déclenche, lors des concerts de I Muvrini, des ovations debout en Allemagne, avec des gens qui en ont les larmes aux yeux». © En Corse perdurent aussi I Paceri-les faiseurs de paix » et ce vieux dicton Mieux vaut mourir que tuer ». Sans doute une réaction de résilience sociale après les exactions commises par la République de Gènes et sa justice privée. La nv est une chance historique pour la Corse. La seule voie pour l’île de dire sa vérité. Un défi à la face du monde et pas seulement pour la Corse. Notre île a-t-elle la volonté de se prendre en mains ? Basta cusi ! Il ne faut pas croire aux miracles. Nous devons être à la hauteur de ce qui nous arrive en terme de corruption, de compromission et de loi du silence. Et on veut des outils pour cela », résume le leader de I Muvrini. Pour des raisons évidentes, la nonviolence sera un acte social prioritaire de survie pour l’ensemble des habitants d’une planète, dont les ressources et l’espace vital diminuent. Quant aux criminels qui exécutent d’autres êtres humains en Corse et ailleurs dans la vraie vie et pas sur les écrans de Canal Plus, Hélène Fillière devrait poser enfin les bonnes questions. Les voyous » dont elles rêvent sont-ils admirables ou dégouttants de sang ? Une certaine presse magazine les hisse en couverture, mais ces voyous aident-ils les jeunes Corses à grandir et à devenir des adultes responsables de leurs actes et du devenir de l’île ? La Corse est-elle victime d’un matraquage médiatique et d’une contamination via la pensée unique du racisme anti-corse ? S’agit-il des séquelles du colonialisme ? Pour Jean-François Bernardini Les voyous évoqués par Corsica, c’est cela aussi, hélas, le prisme colonial ! Ici même la presse en Corse a du mal à imaginer que quelque chose de bien , de salutaire puisse venir de chez nous. Qu’il puisse y avoir ici ,en Corse, des cellules en bonne santé ! Alors je le redis chacun doit faire le travail de transformation intérieure vers la nonviolence… » Liliane Vittori
Vues 1 605 Il y a quelque chose d’absolument stupéfiant dans la trajectoire politique d’Emmanuel Macron ! Voilà un homme dont la principale gloire à la fin de son premier mandat est d’avoir fait tirer sur son peuple, d’avoir blessé et mutilé plus de manifestants que l’ensemble des présidents de la République qui l’ont précédé depuis 50 ans ! Eh bien, paradoxe, il se représente à la Présidence et est réélu ! Comment est-ce possible ? Évidemment, sa réélection résulte de la conjonction de multiples facteurs, mais les historiens reconnaîtront qu’elle fut rendue possible parce qu’il réussit durant son premier mandat à transformer, par touches successives, une démocratie en un régime autocratique, portant le système de propagande d’État à un niveau de perfection jamais atteint par ses prédécesseurs. Les Sarko et autre Hollande ne furent que des petits bricoleurs dans ce domaine. Avec lui, l’appareil de propagande fabrique l’opinion et le consensus. La technique appliquée reste néanmoins classique. Elle consiste à A Lobotomiser la population en répétant une information, toujours identique, formatée et contrôlée. Elle est reprise en boucle sur les chaînes publiques de radio et de télévision sans oublier les chaînes privées d’infos en continu qui, ensemble, constituent le grand ministère de la Vérité voir Orwell, 1984. Chacun de nous entend le même narratif à longueur de journée. Personne ne peut y échapper. Bien sûr, l’apprenti autocrate n’invente rien et ne fait là qu’appliquer des méthodes de lavage des esprits éprouvées depuis longtemps. Se rappeler par exemple que Josef Goebbels fameux ministre de la propagande disait déjà dans les années trente un mensonge répété 5 fois reste un mensonge, mais répété 100 devient vérité ». B Développer des comités de censure déguisés souvent en comités d’éthique ou associations citoyennes dont les membres ne sont que des larbins nommés. Là encore, l’apprenti autocrate n’invente rien. On retrouve les principes qui conduisirent à la création dès 1922 du GLAVLIT, le principal organe de censure de l’URSS. Le CSA est l’archétype du comité de censure d’État à la botte du régime, son bras armé, chargé d’asservir l’audiovisuel en définissant les temps de passage à l’antenne, en infligeant des amendes exorbitantes, en menaçant de retirer l’autorisation de diffusion à tout site qui serait tenté de se dresser contre l’autocrate. C Verrouiller internet en faisant voter, par un parlement non représentatif de la Nation parce qu’élu non démocratiquement des lois liberticides visant à bloquer toute contre-information. On oblige par exemple les sites sur internet à s’autocensurer et à retirer leurs articles et commentaires au bout d’une journée sous la menace d’amendes ou d’être privés du droit de diffusion. La brève liste ci-dessus ne mentionne que quelques-unes des méthodes mises en place dans le domaine de l’information pour restreindre les libertés fondamentales et asservir la population. Dans un texte aussi court, nous ne pouvons aborder le contrôle de l’appareil judiciaire, de l’enseignement, du système de santé, et la transformation progressive des forces de l’ordre au service du citoyen en forces de répression comme l’a montré la gestion de la crise des Gilets Jaunes. Au final, le point CAPITAL est que le régime préserve les apparences d’une démocratie puisque des élections sont organisées régulièrement … sauf que, chaque citoyen ne dispose plus que d’une trentaine de secondes pour se réveiller dans l’isoloir avant de choisir son bulletin de vote, alors qu’l a subi depuis des années le même narratif sans réelle contre information. C’est cela la démocrature la majorité du peuple, lobotomisée et devenue incapable d’aucun questionnement, veaute » correctement et reconduit l’oligarchie qui a confisqué le pouvoir. Auteur Jacques COLLET Source Place d’Armes
En Côte d’Ivoire, nul ne sait comment il va falloir s’y prendre pour sortir de la crise. Le camp du président sortant reste sourd à tous les appels à la raison. Dans le cas présent, la mauvaise foi et l’entêtement de Laurent Gbagbo et de ses partisans vont au-delà de l’une et de l’autre, au point que ce pays est dans une situation qu’aucun adjectif ne suffit à qualifier simplement. Tout semble avoir été tenté sur le plan intérieur, un appel aux fonctionnaires civils et militaires pour qu’ils se rangent dans la légalité du président légitime, puis un autre plus particulièrement destiné aux chefs des forces armées pour qu’ils redeviennent loyalistes, puis une tentative de mobilisation populaire pour occuper pacifiquement le siège de la radio-télévision. On sait ce qu’il en est advenu des dizaines de morts. Rien n’y fait. Mais il existe peut-être une fenêtre de tir qui pourrait du moins ébranler la détermination de l’ancien chef de l’Etat et de son entourage le recours à ceux que, dans un étonnant rapport de dominé à dominant, ils continuent à appeler "chers maîtres". Il s’agit de tous les collègues universitaires, chercheurs, intellectuels français auprès desquels M. Gbagbo lui-même et nombre de ses partisans ont vécu et travaillé, du temps où ils étaient étudiants, doctorants, voire enseignants à leurs côtés ou coauteurs de leurs ouvrages. En effet, et quel que soit le niveau de rejet de la France exprimé par le camp de l’ex-chef de l’Etat, c’est bien par nos écoles et nos établissements supérieurs que sont passés la plupart des protagonistes de la crise. Au point qu’on se demande parfois comment l’université française en est arrivée à former des tyrans. La liste est longue, mais on peut faire court. Laurent Gbagbo a soutenu une thèse de doctorat d’histoire à la Sorbonne avec une grande – et progressiste – historienne française, qu’il a d’ailleurs décorée il y a quelques semaines en souvenir de cette collaboration. Son premier ministre, Aké Gilbert Marie N’Gbo, par ailleurs président de l’université d’Abidjan-Cocody, a obtenu son doctorat de sciences économiques à l’université de Toulouse. Son ministre des affaires étrangères, Alcide Djédjé, ancien ambassadeur de la Côte d’Ivoire auprès de l’ONU, est diplômé de l’Institut d’études politiques de Lyon. Le ministre des mines et de l’énergie, Augustin Kouadio Comoë, est sorti de l’Ecole nationale de la santé publique de Rennes et a obtenu un DESS à l’université Paris-XI. La ministre de l’éducation nationale, Jacqueline Lohoués Oblé, par ailleurs enseignante à l’Université privée de l’Atlantique à Abidjan, a obtenu son agrégation de droit à Lyon. La ministre de l’enseignement technique, Angèle Gnonsoa, a fait des études d’histoire à Paris. Quant au ministre de la culture, Alphonse Voho Sahi, ancien conseiller spécial de Laurent Gbagbo, il a bénéficié pour son dernier ouvrage 2009 d’une préface signée par un ancien chargé de cours, qui a enseigné à Sciences Po Paris. Parmi ceux qui ne sont pas ministres, mais qui sont néanmoins très influents du mauvais côté du bras de fer actuel, il y a naturellement celui qui non seulement a été formé en France mais a également enseigné dans nos établissements supérieurs, chantre du libéralisme économique tout en étant membre du Parti socialiste FPI de Laurent Gbagbo et président de l’Assemblée nationale Mamadou Koulibaly, agrégé d’économie à l’université d’Aix-Marseille, et familier de l’université de Versailles-Saint-Quentin. A côté, il y a le président du FPI, Pascal Affi Nguessan, frappé par les sanctions, qui affiche un diplôme d’ingénieur des télécommunications de l’INT d’Evry. Enfin, le désormais célèbre président du Conseil constitutionnel Paul Yao N’Dré a également appris dans nos universités – à Nice – le droit qu’il met en pratique aujourd’hui au service de Laurent Gbagbo. A ce sujet, ses anciens maîtres sont-ils fiers de la manière dont il a interprété l’article 64 du code électoral ? L’UNIVERSITÉ FRANÇAISE A FAILLI L’idée de demander à chacun de nos collègues français d’intervenir individuellement et personnellement auprès des anciens élèves concernés, en leur rappelant les valeurs qu’ils partageaient autrefois, et souvent avec ferveur, c’est-à-dire l’humanisme, la tolérance, la bonne foi, le respect de la démocratie et des droits de l’homme, la liberté d’expression notamment de la presse, pourrait être pertinente. Surtout lorsque la Côte d’Ivoire se singularise à ce point en bafouant, parfois gravement, tous ces beaux principes la radio-télévision nationale bascule dans Radio Mille-Collines, les Escadrons de la mort ont été réactivés et tuent chaque nuit, un charnier a été découvert et camouflé au lendemain de la dernière manifestation pro-Ouattara… Il est vrai que cette initiative a des relents de colonialisme et de paternalisme sur lesquels il est facile à un esprit mal intentionné de surfer. Mais lorsque l’historien Laurent Gbagbo ne cesse d’affirmer qu’il a reçu son pouvoir de Dieu et que Dieu seul le lui reprendra, inventant par là même le nouveau concept de République de droit divin, on doit se rendre à l’évidence l’université française a failli. Christian Bouquet, professeur de géographie politique à l’université Bordeaux-III Article paru dans l’édition du Le Monde BERNARD KOUCHNER Un humanitaire pas si désintéressé MORALITE AU SOMMET DE L’ETAT L’Afrique devrait ... Et si Dieu n’aimait pas les Noirs ? » Serge Bilé ... DESTITUTION DU MAIRE DE TANA Quelle destination pour ... Union Africaine Où va nous conduire ce guide » ... Session spéciale de l’Union Africaine Une étape vers ... Actualité africaine Les fables politiques malgache et ... ETATS-UNIS D’AFRIQUE Faut-il continuer à rêver ... Migration clandestine 24 Burkinabè expulsés de la ... TROUBLES A MADAGASCAR Les ambitions d’un maire ... Tchad/Soudan L’éternel retour Côte d’Ivoire Le départ des forces étrangères sur le ... 12 Sommet de l’Union Africaine les Ministres en charge ... Madagascar Le pire est à craindre ACCUSATIONS CONTRE MACKY SALL Wade dans son sport ... TRANSPORT EN COTE D’IVOIRE Un enjeu électoral Madagascar Répétition générale de l’histoire sur la ... ELECTIONS EN COTE D’IVOIRE Pourquoi ça coince Mamadou Dia Le poil à gratter de Senghor s’en est ... Présidentielle en Mauritanie Aziz, il faut être sérieux ... RDCONGO/RWANDA Les mystères d’une réconciliation
rever du president de la republique